Semaine nationale des entraîneurs Profil de nos entraîneurs: Jean-Sébastian Labrie
Sans nos entraîneurs, nous ne pourrions pas compétitionner contre les meilleurs au monde. La Semaine nationale des entraîneurs est l’occasion de célébrer l’impact positif des entraîneurs sur les athlètes d’un bout à l’autre du pays. Canada Alpin a la chance d’avoir des entraîneurs extraordinaires qui travaillent avec les équipes canadiennes de ski alpin, de ski para-alpin et de ski cross pour soutenir les athlètes dans leur quête de podiums.
Nous sommes ravis de profiter de cette occasion afin de reconnaître les entraîneurs de ski au pays qui aident les skieurs à nourrir une passion pour le ski de compétition, le ski et le plein air.
Au cours de la semaine, nous mettrons en vedette quelques entraîneurs qui travaillent avec les équipes nationales de ski d’Équipe Canada.
Nom : Jean-Sébastian Labrie
Équipe : Équipe canadienne de ski para-alpin
Fonction : Entraîneur-chef
1. Depuis combien de temps es-tu entraîneur?
Je suis entraîneur depuis l’âge de 15 ans. J’entraînais les fins de semaine tout en allant au cégep et en faisant mes études à l’Université Laval, à Québec. J’entraîne à temps plein depuis 1998, et je n’ai jamais regretté mon choix. J’ai eu des occasions formidables au fil de ma carrière.
2. Qu’est-ce qui t’a amené à devenir entraîneur?
Je n’ai pas décidé de me lancer dans ce métier, c’est le ski de compétition et le coaching qui m’ont choisi. J’ai choisi un mode de vie qui concilie voyages et développement de jeunes athlètes passionnés. Ma raison pour entraîner évolue avec le temps, mais je trouve toujours des défis qui me permettent de rester à jour et motivé.
3. Qu’est-ce qui te plaît le plus dans ton travail?
Le meilleur aspect de mon travail est qu’il m’aide à être une meilleure personne sur le plan personnel. J’ai rencontré des gens remarquables tout au long de mon cheminement, sans oublier les innombrables levers de soleil dont je suis témoin d’année en année. ��
4. Quel est le meilleur moment de ta carrière d’entraîneur?
Il serait injuste d’en désigner un seul, mais à chaque fois que les Jeux paralympiques se terminent, nous avons l’occasion de célébrer les performances des athlètes avec toute l’équipe. C’est toujours un moment spécial lorsque nous faisons un retour sur les quatre dernières années qui nous ont amenées ici. Que nous ayons gagné des médailles ou non.
5. Quel est l’aspect le plus difficile de ton travail?
Je pense que la communication est la principale difficulté du travail d’un entraîneur. Définir les attentes et s’assurer que toute l’équipe (le personnel et les athlètes) va dans la même direction en visant un objectif commun.
6. Qu’est-ce que tu attends vraiment avec impatience cette saison?
En raison de la COVID, nous avons manqué notre bloc de courses en Norvège la saison dernière qui devait servir d’événement test en vue des Championnats du monde de cette année. Nous espérons y retourner cette saison et pouvoir skier vite sur les pentes norvégiennes.